La traduction est d'Eric Wittersheim (© Omnibus, 2005).
p. 40 : « Robert Streeet » avec 3 e. Une coquille figurant déjà dans l’édition Omnibus de 2005 – mais qu’un correcteur orthographique (même automatique) aurait facilement repéré. Agnès Jeanjean n’y a pourtant vu que du feu.
p. 69 : « Il y a quelque chose de diabolique à l’intérieur d’ici, Watson (…) » – à l’intérieur d’ici ? Étrange, ce français approximatif qui ressemble à du Google Translate pur jus. L’original anglais dit « There is something devilish in this, Watson (…) » que je traduirais par « Il y a quelque chose de diabolique là-dedans, Watson (…) » mais je ne suis pas Eric Wittersheim.
p. 159 : « – À ce moment-là néanmoins, par un méchant coup du destin, un remorqueur tirant trois barges vint se fourrer entre nous. » Remarquez le tirent en début de phrase qui est inutile, car Watson reprend en fait sa narration et cette phrase n’est donc plus une réplique de dialogue. Le tiret ne figure d'ailleurs pas dans l’édition Omnibus. Ajouter des coquilles sur un texte qui en contient déjà quelques unes, c'est ce qu'on appelle de la valeur ajoutée, non?
Trêve de plaisanterie, personnellement j'aime le format (caractères pas trop petits, papier plus épais et moins fragile que le papier cigarette de l'édition omnibus, mise-en-page plus aérée, livre pas trop grand ni trop lourd). J'ai plaisir à relire les aventures du détective de Baker Street dans cette jolie (c'est subjectif) édition et je compte me procurer les 15 à 17 premiers volumes de la collection malgré ses défauts.
le livre de poche ne la joue pas aussi haut . eux se la joue grande collection